« Si tu es à Rome, vis comme les Romains ; si tu es ailleurs, vis comme on y vit » : la référence d’Ambroise de Milan au voyage de Saint Augustin dans la capitale de l’empire s’applique sans contestation à la problématique du recouvrement à l’international. Il exige beaucoup de compétences, réclame une réelle expérience des réalités locales, et nécessite un réseau de professionnels complémentaires et rompus au terrain.
Le recouvrement à l’export s’improvise d’autant moins qu’il est plus difficile d’être efficace quand on agit loin de sa base. La rapidité de décision et d’action est pourtant primordiale : chaque jour qui passe pèse sur la trésorerie, et éloigne la probabilité d’être payé. Sans oublier que l’exportateur a tout simplement… beaucoup d’autres choses à faire, à commencer par ses missions commerciales et financières.
Un grand assureur-crédit peut mobiliser ses ressources locales, capables de dialoguer avec le débiteur, et les intermédiaires juridiques, et aussi avec l’exportateur, qui doit savoir à tout instant où en est sa créance. Avec des taux de réussite élevés : chez Euler Hermes, 92% des récupérations de créances sont effectuées à l’amiable et 75% sont réalisées en moins de 6 mois.
Mais la mission d’un assureur-crédit ne doit pas s’arrêter là. Il informe et soutient les entreprises françaises dans leurs efforts à l’international. C’est dans cette optique que nous publions régulièrement les Cahiers du Recouvrement, qui présentent les caractéristiques et les dernières conditions connues du recouvrement dans les principaux pays d’exportation. Vous y trouverez notamment :
- l’environnement réglementaire,
- les modes de paiement à privilégier,
- les pratiques locales en matière de recouvrement,
- comment faire face à l’insolvabilité d’un débiteur…
Cette collection, qui s’agrandit régulièrement, comprend déjà 10 dossiers à télécharger individuellement :